Il y a 15 jours, lors des Etats généraux de la communication, nous avons appris que les marques, publicitaires, médias, ont la même vision de demain et que celle-ci ne passe pas par la « stricte interdiction de la publicité ».
Pourtant, au sein des communicants, des voix s’élèvent en faveur d’une interdiction de certains types de publicités.
Voici un florilège des raisons pour lesquelles nous serions tous d’accord. Et les raisons pour lesquelles je ne suis pas d’accord.
L'intention n'est ici aucunement de minimiser les efforts déjà entrepris par beaucoup, mais de rappeler l'urgence à transformer la communication.